Au début de janvier 2011, Facebook a obtenu un investissement de 500 millions de dollars de Goldman Sachs et d’une entreprise russe. Cette affaire a mis en 50 milliards de dollars la valeur du réseau social, en hausse de sociétés telles que eBay, Yahoo et Time Warner.
Selon des sources anonymes proches de l’affaire, Goldman Sachs a investi 450 millions de dollars dans Facebook et la compagnie Digital Sky Technologies autre 50 millions de dollars, amenant la valeur de Facebook jusqu’à 50 milliards de dollars.
Le nouvel investissement a augmenté la puissance économique de Facebook, qui devient une concurrence sérieuse à des géants de l’information comme Google.
D’une part, l’injection de nouveaux capitaux dans Facebook arrive à un moment où la U.S. Securities and Exchange Commission (organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers) a ouvert une enquête pour déterminer s’il y a eu des irrégularités dans l’achat d’actions des compagnies cybernétiques majeures, y compris Facebook et Twitter.
D’une autre part, cet investissement peut aussi signifier une pression croissante sur Facebook pour démarrer comme une société de bourse, ce que le marché attend depuis longtemps. Jusqu’à présent, la compagnie n’a pas révélé quoi que ce soit, mais il y a de spéculation pour attendre que Facebook négociera sur le marché boursier l’année prochaine.
Que fera Facebook avec tout cet argent?
Grâce à cet investissement, Facebook aura le potentiel d’attirer chez eux une main-d’œuvre précieuse employée dans sa concurrence, développer des nouveaux produits et d’acquérir d’autres entreprises.
Peut-être la première chose que fera l’entreprise avec l’argent sera livrer les dividendes et les primes à leurs employés et les actionnaires, comme il l’a fait dans des occasions semblables.
En outre, Facebook a confirmé qu’au au cours de 2011 va acheter plus de sociétés. Avec autant de capital disponible pour investir, les négociations d’acquisition seront plus compliquées et les prix des petites entreprises auront tendance à augmenter. Sinon, il reste la possibilité d’investir massivement dans le développement interne de nouveaux produits.
Enfin, le soutien des investisseurs sur Facebook est encore une garantie pour signaler qu’il s’agit d’un modèle d’affaires stable, sans hâte ni liens. Bien que la publicité est sa principale source de revenus, Facebook devra chercher des autres modèles de recettes, et peut-être qu’il est temps pour une expansion à la recherche d’autres clients au-delà de Facebook.
José CLARK
http://dealbook.nytimes.com/2011/01/02/goldman-invests-in-facebook-at-50-billion-valuation/
http://www.readwriteweb.es/socialmedia/goldman-sachs-decanta-facebook-inversiones/