Par un arrêt du 12 avril 2016, la cour d’appel de Paris a rejeté les demandes en nullité pour déceptivité de la marque semi-figurative « Le Petit Marseillais » désignant des produits savonneux. Elle a, en outre, condamné le titulaire de la marque « Le P’tit Zef » pour contrefaçon. À l’occasion de ce litige, la Cour d’appel a eu à se prononcer sur le risque de confusion qui réside entre la marque « Le Petit Marseillais » et l’appellation savon de Marseille.