Les obligations des nouveaux acteurs à l’ère du numérique étant en plein questionnement, la Cour a, par cet arrêt, dû juger de la responsabilité d’un administrateur d’une page hébergée sur un réseau social, dans le traitement de données à caractère personnel. Cet arrêt permet aussi à la Cour d’agir en « garde fou » par l’autonomie reconnue aux autorités nationales de contrôle en matière de protection de données à caractère personnel.