La Cour Européenne des Droits de l’Homme reprend, dans cette décision, l’application effectuée dans certaines affaires antérieures, et notamment la jurisprudence GOLDER contre Royaume-Uni de 1975 dans laquelle il est retenu un principe spécifique en matière de secret des correspondances : l’article 8 devait empêcher l’excès de zèle envers les détenus, s’agissant de leur correspondance.