Le TGI de Paris a retenue les actes de contrefaçon de la marque « cokincokine » de la société Webangelis, à l’égard d’un titulaire d’un autre site, ayant reproduit la marque dans des noms de domaines pour désigner un site de rencontres libertines ainsi que l’inclusion de mots dans le code source d’un autre site internet afin d’orienter déloyalement les internautes.