L’inspiration d’un artiste pour une oeuvre déjà existante et très réputée connaît parfois ses limites. Au-delà d’un certain seuil, il pourra engager sa responsabilité civile pour plagiat ou comportement parasitaire. C’est en l’espèce le cas de la société Dolce & Gabbana qui a exploité la célèbre photographie en noir et blanc représentant Yves Saint Laurent nu sans en demander l’autorisation aux ayants-droit du photographe.