La jurisprudence s’achemine vers un assouplissement de l’exception de parodie, en effet dans cet arrêt, la cour admet que pour qu’il y ait parodie d’une œuvre, il suffit qu’elle présente avec l’œuvre parodiée des différences suffisantes pour éviter tout risque de confusion.
Mais, cette affaire amène à se poser la question : ne va-t-on pas vers un amenuisement de la protection des auteurs à force d’agrandir le nombre d’exception à l’application de leur protection ?