Navigation : IREDIC / 2011 / décembre / 10 / TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS – JUGEMENT, 3 NOVEMBRE 2011, OLIVIER M C/ PRISMA PRESSE, GOOGLE

Connexion

Inscription

Logo

Institut de Recherche et d'Études en Droit de l'Information et de la Culture

Menu

Skip to content
  • L’institut
    • Présentation
    • Equipe administrative
    • Equipe de direction
    • Partenaires
    • Actualités de l’Institut
  • M1 Droit du Numérique
    • Présentation
    • Équipe Pédagogique
  • M2 Droit des communications électroniques
    • Présentation
    • Équipe Pédagogique
    • Promotion
    • Annales
    • Documents pédagogiques
  • M2 Droit des Industries culturelles et créatives
    • Présentation
    • Équipe pédagogique
  • M2 Droit Journalisme Communication
    • Présentation
    • Équipe Pédagogique
    • Site du Magistère
    • Fiche ROF
  • M2 Droit des données numériques
    • Présentation
  • Dual LLM in Digital Law (Phnom Penh – Cambodge)
Navigation : IREDIC / 2011 / décembre / 10 / TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS – JUGEMENT, 3 NOVEMBRE 2011, OLIVIER M C/ PRISMA PRESSE, GOOGLE

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS – JUGEMENT, 3 NOVEMBRE 2011, OLIVIER M C/ PRISMA PRESSE, GOOGLE

Publié par iredic le 10 décembre 2011 dans Internet / Numérique : notes de jurisprudence, Publicité: notes de jurisprudence | Consulté 45 Fois | Leave a response

Alors que le sort judiciaire du service Adwords, programme de publicité en ligne de la société Google,
semblait scellé depuis les arrêts de Cour de Justice de l’Union Européenne du 23 mars 2010 et de la Cour
de cassation du 13 juillet 2010, la justice connait un nouveau rebondissement avec le jugement rendu par le
tribunal de grande instance de Paris, le 14 Novembre 2011. Jusqu’alors le géant américain semblait pouvoir
bénéficier de la qualité d’ hébergeur, profitant de paire d’un régime de responsabilité allégé, dès lors que
son activité se limitait à l’hébergement de liens sponsorisés et à la fonction de support publicitaire passif. Le
TGI a alors pris le contrepied de cette jurisprudence en considérant que la société Google détenait un rôle
actif, assimilable à celui d’un « éditeur », ce qui de fait, empêche la qualification d’hébergeur. En l’espèce
l’application de ce régime aurait sans doute permis à Google d’échapper à sa condamnation.

Télécharger (PDF, Inconnu)

Publié dans Internet / Numérique : notes de jurisprudence, Publicité: notes de jurisprudence | Tag(s) : directive du 8 juin 2000, droit à l'image, droit au nom, google adwords, HEBERGEUR, LCEN, régime de responsabilité allégée, VIE PRIVEE

Rechercher une publication

Catégories

Travaux récents

  • FantomApp : La première application de la CNIL pour aider les mineurs à se protéger sur les réseaux sociaux

    21 décembre 2025 / Khadidja Boudia
  • Le commerce français fait front contre Shein

    19 décembre 2025 / Zélie Vindimian
  • Conversations enregistrées sans consentement : Siri, l’assistant vocal d’Apple, au cœur d’une enquête judiciaire française

    19 décembre 2025 / Marie Tinard
  • ESTA ou la demande de toutes nos données personnelles

    19 décembre 2025 / Manon Villanova
  • Cookies publicitaires et filiales internationales : la sanction de la filiale française d’American Express par la CNIL confirme l’exigence de conformité

    19 décembre 2025 / Laure Montigneaux

© 2025 IREDIC - Mentions Légales

Menu

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Vous acceptez leur utilisation en poursuivant la navigation.