Joignant deux questions préjudicielles posées par les tribunaux français et allemands relatives aux
compétences judiciaires en matière de dommages subis par des contenus mis en ligne sur
internet, l’arrêt rendu par la Cour de Justice de l’Union européenne atteste de sa capacité à
s’adapter aux nouvelles réalités et difficultés liées à l’omniprésence d’internet.