Par le présent arrêt, la première chambre civile de la Cour de cassation confirme le jugement rendu en date du 31 mars 2021 par la Cour d’Appel de Paris, affirmant que la journaliste Sandra Muller a tenu des propos diffamatoires, mais que ces derniers s’inscrivaient « dans un débat général consécutif à la libération de la parole des femmes ». La Cour de cassation ainsi rejette le pourvoi formé par Éric Brion.